-
Rejoignez les 1 311 autres abonnés
Catégories
- * Train de vie de l'Etat (406)
- Afrique (31)
- Agroalimentaire (570)
- animaux (719)
- Au fil du temps (100)
- chronique (1 089)
- climat (40)
- Consumérisme (247)
- Coopération (61)
- Culture (1 837)
- Débats Idées Points de vue (3 103)
- Défense (187)
- Démocratie (612)
- Développement personnel (144)
- Droit de l'humain (329)
- Ecologie (1 190)
- Economie (2 533)
- Education (379)
- En Vrac (196)
- Energie (469)
- Europe (1 866)
- Handicap (36)
- Humour (2 476)
- Industrie (252)
- Insolite (417)
- International (3 117)
- Internet (499)
- Justice (1 155)
- Logement (190)
- Loisirs Tourisme (859)
- Médias (2 565)
- Nature (824)
- Non classé (411)
- poésie (89)
- Police (621)
- Politique (5 106)
- réchauffement climatique (21)
- réflexion (353)
- Résistance (782)
- Santé (1 211)
- Science (540)
- Social (1 374)
- Solidarité (786)
- Sport (94)
- Thérapie (1)
- Transport (378)
- Vélo (23)
- Travail (614)
Liens
4000 ans de Fukushima (partie II)
Comment réagit l’élite, alors ? Par un changement de stratégie ? Au contraire, en s’enfonçant dans la même logique : les chefs et les prêtres prétendaient communiquer avec les Dieux. Grâce à cette architecture colossale, grâce à des cérémonies gigantesques, ils attiraient sur l’île les faveurs des cieux. Si la prospérité fuyait, si les rendements diminuaient, c’est – justement – que la foi des fidèles fléchissait. Qu’il fallait donc une architecture encore plus colossale, des cérémonies encore plus gigantesques, pour ramener la fertilité ! Et l’on découvre alors, dans les ateliers, une statue haute de 21 mètres (un immeuble de cinq étages !), lourde de 270 tonnes, qui ne sera jamais déplacée…
Cet article, publié dans Ecologie, Energie, est tagué centrale de Fukushima, civilisations, extinction des espèces, fakir. Ajoutez ce permalien à vos favoris.