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Le trombinoscope de la Sarko connection
L’influent Nicolas Bazire L’homme qui était directeur de cabinet d’Édouard Balladur entre 1993 et 1995 fut le principal interlocuteur de Sarkozy,
Le multi-blanchi Le ministre de la Défense, ardent soutien de Sarkozy et ancien membre d’un groupuscule d’extrême droite, n’a jamais été condamné, mais il collectionne une série impressionnante de mises en examen et d’affaires qui lui collent aux basques. Il s’en est toujours sorti, mais personne n’a oublié l’affaire du financement du Parti républicain, future composante de l’UMP, celle de la construction de sa villa à Saint-Tropez, et l’affaire des marchés publics d’Île-de-France. Les tribunaux, il connaît!
L’homme des intermédiaires Il a été ministre de la Culture, mais son carnet d’adresses — saisi par les juges — contient tous les numéros des hommes de l’ombre de l’armement. Donnedieu de Vabres, mis en examen dans l’affaire Karachi, était un pivot des ventes d’armes quand il était conseiller de Léotard au ministère de la Défense, entre 1993 et 1995. Déjà condamné (il a blanchi 5 millions de francs en biftons via le Luxembourg quand il était l’un des responsables du Parti républicain), il fréquente ardemment l’Élysée; et, puisqu’il fallait bien le recaser quelque part, il a été nommé à la tête de l’Agence de développement touristique de la France.
Prochain exilé fiscal? L’ancien ministre-taulard a fait la danse des sept voiles à Sarkozy. Bingo: tout a été fait pour qu’il puisse décrocher un énorme chèque en règlement de son affaire avec le Crédit lyonnais. Il fait marrer Sarko, pour qui il avait appelé à voter en 2007. Ça ne l’a pas empêché de délocaliser prestement son beau magot en Belgique, comme Charlie l’a révélé. Avant de s’exiler fiscalement?
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