« C’est presque devenu un axiome. Tout article, propos ou point de vue sur l’énergie nucléaire déclenche irrémédiablement une volée de réactions tant passionnées qu’inconciliables et définitives.
La France, avec ses 58 réacteurs nucléaires, son EPR en construction et sa casquette de VRP de l’atome à l’étranger, a ça de particulier que parler du nucléaire est sensible et polémique.
Si cette réalité n’est pas nouvelle, elle a pris un tour particulier ces derniers jours, avec la publication par Greenpeace d’une cartographie du réseau de l’industrie énergétique et nucléaire française.
Mis en ligne vendredi, Facenuke se veut (…) »
Lu sur le blog d’Audrey Garric