Lettre ouverte à ceux dont le métier est d’informer – Le 31 janvier 2013
Association Citoyenne pour le Suivi, l’ Etude et l’information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques
Vous êtes journalistes.
Aujourd’hui, plus personne ne s’étonne de constater que la presse soit en profond déclin tandis qu’une information alternative circule de manière exponentielle sur Internet.
Nous sommes des « citoyens militants de l’information » ; des indépendants déterminés qui n’attendons aucune rétribution en retour de nos efforts. Nous avançons dans notre lutte contre la désinformation. Nous sommes motivés essentiellement par l’inquiétude au sujet de notre environnement et de ce qu’il en adviendra pour nous et nos enfants.
Il y a des sujets qui ne sont quasiment jamais abordés dans les médias de ce début de XXIe siècle, et les lecteurs potentiels ne s’y trompent pas. L’un de ces sujets nous concerne tous : il s’agit de la MANIPULATION DU CLIMAT.
Sur ce sujet pourtant « brûlant », souvent systématiquement taxé du terme inapproprié de « théorie du complot », les articles et émissions de radio sont vraiment trop rares et s’en tiennent la plupart du temps à la version officielle : «on nous dit qu’il faut agir contre le réchauffement climatique, qu’il faut empêcher la hausse des températures»… L’incapacité des gouvernements à respecter le protocole de Kyoto, les prévisions de réchauffement climatique et le lobbysme des industriels qui ralentissent l’expansion des énergies propres amènent à passer par une autre solution, non avouable, la géo-ingénierie.
Pourtant, derrière ces accusations de « théories », il y a matière à sensation :
certains faits ont déjà été rapportés : les très officielles PLUIES ARTIFICIELLES des gouvernements chinois et russes, ou le ciel bleu spécialement réservé aux jeux olympiques Coréens de 2008.
En 2012, la Banque Mondiale a fait l’injonction, largement sous médiatisée, d’intervenir rapidement et à l’échelle mondiale afin d’éviter jusqu’à 4°C de réchauffement d’ici 2030.
Étrangement, les moyens ne sont pas présentés dans le rapport. Quels sont donc ces moyens ?
Vous, journalistes, de par votre profession, vous avez accès aux informations sur ce sujet ainsi qu’à celles ayant trait aux missions du GIEC et au projet américain militaro-climatique HAARP.
Quand vous commencerez à mener vos enquêtes sur ces sujets encore « tabous », vous découvrirez peut-être l’existence de très nombreux brevets, déposés depuis les années 30, concernant les manipulations de l’environnement, en particulier de l’atmosphère, et les techniques d’épandages d’aérosols par avions.
Dans la palette de la géoingéniérie, il y a : le stockage de carbone –jugé coûteux et difficile, l’ensemencement des océans –de même – et la modification de l’atmosphère grâce à l’usage d’épandages aériens à grande échelle, cette dernière technologie étant déjà expérimentée depuis plusieurs décennies.
Dans de très nombreux pays, sans que les citoyens n’en soient informés, le ciel est fréquemment quadrillé par des avions aux interminables traînées blanches ou brunes qui s’étalent lentement et sont infailliblement suivies d’un ciel laiteux. Phénomènes filmés, photographiés par des centaines de milliers d’observateurs intrigués et inquiets de par le monde, et dont les effets sont ainsi décrits dans les émissions météo: « trainées d’avions », « nouveaux types de cirrus », « ciel voilé », « chute – ou hausse- brutale des températures ». Ce phénomène se perpétue intensément en France depuis plus de dix ans. Ces épandages d’aérosols sont communément appelés « CHEMTRAILS».
Des chemtrails que l’on retrouve jusque dans les décors des publicités, films et documentaires et qui sont depuis plus de dix ans le sujet enflammé de centaines de groupes Facebook et de sites internet à travers le monde entier.
Comment avec tous ces éléments, peut-on encore parler de « théorie » alors que la géo-ingénierie est déjà une techno-science officielle ?Et qu’elle est déjà largement appliquée dans notre ciel ?Les médias de nombreux pays étrangers sont plus loquaces que les français sur le sujet.