Et si la voie du Bodhisattva passait par le fait d’être déjà heureux soi-même ?
Christian Boiron, pour qui le bonheur est accessible à chaque être humain, nous dit qu’il est indépendant du plaisir et de la souffrance physique et de l’amour des autres, mais qu’il entraîne un épanouissement de l’individu qui devient source de rayonnement pour le groupe social.
Le bonheur de l’individu nourrit le groupe, ce qui n’est pas le cas du plaisir.
La quête du bonheur est non seulement légitime, mais c’est donc un véritable devoir éthique.