Santé : 5 repères pour consommer les bons poissons

Source : Que Choisir – Santé – Édition spéciale d’Octobre 2013
Aliments incontournables, les poissons nous apportent des protéines, des oligo-éléments  et des vitamines essentiels pour notre santé et constituent, pour les plus gras, une source primordiale d’oméga 3. malheureusement, consommer du poisson peut présenter des dangers en raison des contaminations nocives par des pesticides, des PCB (dits pyralènes) ou du mercure. Cependant, les bienfaits de la consommation de poisson restent largement supérieurs aux risques, en prenant certaines précautions.   Sophie Bartczak
poissons tourne personnage1 – Varier les espèces, c’est le principal conseil !
2 – Privilégier ceux qui ne sont pas des prédateurs. Certains polluants s’accumulant dans l’organisme, les gros poissons prédateurs sont plus souvent contaminés (espadons, etc.) alors que les petits poissons à vie courte contiennent peu de polluants (sardine, maquereau etc.)
3 – Consommer au moins deux portions de poisson par semaine, par exemple un ou deux poissons gras (maquereau, hareng, sardine, etc) et un poisson maigre (cabillaud, colin, etc). Se reporter au tableau ci-dessous.
4 – Penser aux aliments congelés et en conserve (de bonne qualité), qui gardent une bonne partie de leurs qualités nutritionnelles.
5 – Pour les femmes enceintes ou qui allaitent et les jeunes enfants (moins de 30 mois), ne pas manger de poisson cru ou fumé et éviter les poissons les plus pollués
Choisir du poisson en mangeant à la fois sa santé et l’environnement est une équation difficile. La classement que nous proposons se fonde en priorité sur les arguments « santé ». Toutefois, nous avons indiqué quand des soucis pouvaient exister en termes de stock afin que les consommateurs puissent se renseigner et choisir.
Les bons poissons
100_5724Note importante :nous parlons ici de poissons ne provenant pas de fermes aquatiques industrielles à grand rendement.

A propos werdna01

Hors des paradigmes anciens et obsolètes, libérer la parole à propos de la domination et de l’avidité dans les domaines de la politique, de la religion, de l’économie, de l’éducation et de la guérison, étant donné que tout cela est devenu commercial. Notre idée est que ces domaines manquent de générosité et de collaboration.
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