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Educateurs de rue à la rue
Pour enfoncer le clou et faire taire les persifleurs, le conseil général a fini par sortir l’arme lourde en avançant deux arguments : d’une part, s’occuper de la prévention spécialisée est facultatif pour les assemblées départementales et, d’autre part, les actions menées par les éducateurs de rue relèvent de la prévention de la délinquance, donc de l’État. Allez, démerdez-vous, Messieurs du gouvernement, semble leur dire Eric Doligé, le même qui déclarait, le 24 septembre 2013, lors des journées parlementaires UMP : « Moi, je dois vous dire que j’ai un instinct meurtrier en ce moment. Je suis comme la plupart des citoyens, moi, je ne supporte pas Hollande et sa bande ! »
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