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Europe : « Le prix payé pour permettre aux actionnaires d’encaisser des profits est passé sous silence »
Le 28 avril, les institutions nationales et européennes exprimeront leur compassion. Elles s’engageront solennellement à améliorer les conditions de travail. Les 364 autres jours de l’année, la réalité dément ces déclarations. Depuis dix ans, avec les deux Commissions présidées par M. Barroso, la politique de l’Union européenne en santé au travail est pratiquement paralysée. Des procédures bureaucratiques très lourdes empêchent l’adoption de nouvelles législations. Il faut passer par des études d’impact qui démontreraient que la vie et la santé des travailleurs sont une marchandise rentable, qu’elles ne constituent pas un « fardeau » pour les employeurs.
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