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La toxicité cachée des nanotechnologies
Quel que soit le procédé utilisé, ces nanomatériaux sont ensuite intégrés aussi bien dans des fibres textiles (exemple : sous-vêtements aux nanoparticules d’argent avec des propriétés antibactériennes), dans des aliments (sous forme de conservateurs ou intégrés directement dans les aliments pour leur conférer de nouvelles propriétés), dans tous types de matériaux de base (ciments, métaux, verres, bois) et dans tous types de produits de consommation courante (cosmétiques, détergents, jouets pour enfants, tétines, planche à découper, etc.).
Faut-il en avoir peur ?
Quels impacts sur la santé ?
Par ailleurs, s’agissant d’alimentation, il faudrait prendre en compte de multiples facteurs : interaction de l’emballage avec l’aliment, des nanos avec d’autres produits toxiques ingérés ou avec des nutriments, effets de la cuisson du produit, mélanges de plusieurs nanoparticules, etc. Il est impossible d’en avoir le coeur net, sauf à entreprendre des études extrêmement complexes sur des dizaines d’années, ce qui représenterait des sommes colossales pour un résultat limité. Les nanos constituent un problème sanitaire également pour les personnes qui travaillent à la préparation et à l’emballage des aliments, manipulent des stocks de particules et, en l’absence de précaution, peuvent être contaminées par voie olfactive ou cutanée.
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