Le jugement des banques : pièce satirique citoyenne

Attac France – 18/02/2015 –
« Nous sommes au théâtre et nous allons faire au théâtre ce que nous devrions faire HORS du théâtre : juger les banques ! », s’exclame le juge, en préambule.
Dans ce procès haut en couleurs vous verrez comment les dérives du système bancaire ont provoqué la crise que nous vivons. Vous saurez tout sur la titrisation, les subprimes, les paradis fiscaux, la création de monnaie, la vie des traders, la ruine des paysans indiens par Monsanto, les soucis éthiques des petits actionnaires, la dette de la Grêce, les positions du FMI et de la banque centrale européenne…
En plein scandale HSBC et alors que la Banque Centrale Européenne s’attaque violemment au gouvernement grec anti-austérité, cette pièce de théâtre de la compagnie NAJE est plus que jamais d’actualité ! Ceci en complément du Livre noir des Banques (Attac/Basta !) paru aux éditions Les Liens qui Libèrent.
À nous de multiplier les débats partout où nous pouvons pour remettre les banques au service des citoyens et prononcer ensemble avec force la dernière réplique de la pièce : « Nous ne voulons plus que les banques se comportent comme des troupeaux de chevaux sauvages ruinant les récoltes et les efforts des hommes. Elles doivent être domestiquées, c’est à dire socialisées pour être maîtrisées par la société civile et politique. Les banques doivent devenir les chevaux de trait d’une économie humaniste ! »
Image et réalisation : Jean-Paul Miotto
Image captation : Geoffroy Duvall, Olivier Lallemant, Jean-Paul Miott
Compagnie NAJE : F. Aouissi, A. Bauchet, F. Berrahla, P. Christophe, J. Choisnel, J. Combes, D. Cuny, C. Daniellou-Molinié, M-F. Duflot, C. Guenoun, C. Lamagat, E. Levy, M. Louahem’Msabah, N. Meurzec, J-P. Ramat, F. Ressort
Musique : Catherine Lamaga
Lumière : Vianney Davienne, Aykel Skouri
Mise en scène : Fabienne Brugel et Jean-Paul Ramat

A propos werdna01

Hors des paradigmes anciens et obsolètes, libérer la parole à propos de la domination et de l’avidité dans les domaines de la politique, de la religion, de l’économie, de l’éducation et de la guérison, étant donné que tout cela est devenu commercial. Notre idée est que ces domaines manquent de générosité et de collaboration.
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