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La Décroissance, une vision pour des sociétés plus justes et plus sobres
Depuis plusieurs décennies, c’est toujours la même rengaine : « comment relancer la croissance ? ». A gauche comme à droite, de Merkel à Obama, de Sarkozy à Orban, de Hollande à Harper, une seule solution, la Croissance. Comme une pensée magique, un totem.
Tout d’abord, il est utile de préciser que la croissance ne marche plus. Et, quand bien même, le système croissanciste n’est pas souhaitable.
L’idéologie dominante semble bien décalée par rapport à l’urgence sociale, culturelle et écologique. Elle scande que la croissance reste la solution. Les Objecteurs de Croissance (OC) affirment qu’elle est le problème. Et c’est justement parce qu’ils ne craignent pas de remettre en cause le dogme de la Croissance qu’ils sont en mesure de proposer des pistes audacieuses, qu’ils estiment justes socialement, soutenables écologiquement et, finalement, très réalistes.
La question de la mobilité, avant d’être un questionnement sur le « comment ? » doit d’abord être un questionnement sur le « pourquoi ? ». Quel sera l’impact des alternatives à la voiture s’il n’y a pas de débats préalables sur l’aménagement du territoire, sur la nature des besoins en mobilité et sur leur évolution, sur le voyage, etc.
Vincent Liegey, Stéphane Madelaine, Christophe Ondet et Anisabel Veillot
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