Les personnes sans domicile fixe se déclarent moins fréquemment en bonne santé que l’ensemble de la population, bien qu’elles soient en moyenne plus jeunes, selon une étude de la Drees.
Ce niveau de santé perçue, quel que soit l’âge, est le reflet d’une santé physique et psychique dégradée. A structure par âge et sexe identiques à la population générale, 34 % des SDF disent être en partie ou totalement édentés et 20 % déclarent être obèses.
Près d’un quart d’entre eux estiment être en dépression
Le Monde 08 septembre 2015
Le recours aux soins des sans-domicile : neuf sur dix ont consulté un médecin en 2012
Études et résultats n° 933, septembre 2015
Publié le 7 septembre 2015