-
Rejoignez les 1 312 autres abonnés
Catégories
- * Train de vie de l'Etat (406)
- Afrique (31)
- Agroalimentaire (570)
- animaux (719)
- Au fil du temps (100)
- chronique (1 089)
- climat (40)
- Consumérisme (247)
- Coopération (61)
- Culture (1 837)
- Débats Idées Points de vue (3 103)
- Défense (187)
- Démocratie (612)
- Développement personnel (144)
- Droit de l'humain (329)
- Ecologie (1 190)
- Economie (2 533)
- Education (379)
- En Vrac (196)
- Energie (469)
- Europe (1 866)
- Handicap (36)
- Humour (2 476)
- Industrie (252)
- Insolite (417)
- International (3 117)
- Internet (499)
- Justice (1 155)
- Logement (190)
- Loisirs Tourisme (859)
- Médias (2 565)
- Nature (824)
- Non classé (411)
- poésie (89)
- Police (621)
- Politique (5 106)
- réchauffement climatique (21)
- réflexion (353)
- Résistance (782)
- Santé (1 211)
- Science (540)
- Social (1 374)
- Solidarité (786)
- Sport (94)
- Thérapie (1)
- Transport (378)
- Vélo (23)
- Travail (614)
Liens
Le marché contre l’agriculture
Chaque année, c’est presque une tradition, les agriculteurs manifestent. Les analyses de ces crises à répétition proposées par la presse fluctuent entre le compassionnel (voyez cette famille qui croule sous les charges) et la recherche de commodes boucs émissaires (haro sur les grandes surfaces). Très peu s’interrogent sur les causes profondes de ces crises.
Faute d’une harmonisation sociale en Europe et d’un système de protection du marché intérieur, les agriculteurs sont donc contraints de vendre à des prix qui bien souvent ne couvrent même pas leurs coûts de production. Ils se trouvent ainsi dans la situation humiliante où l’essentiel de leurs revenus vient de primes et de subventions publiques distribués de manière très inégalitaire.
Cet article, publié dans Agroalimentaire, est tagué agriculture, loi du marché. Ajoutez ce permalien à vos favoris.