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92 % d’entre nous respirent un air trop pollué
Ce rapport alarmant montre la difficulté de la tache que les dirigeants du monde ont votée il y a un an, en septembre 2015. Ils décidaient alors, à l’ONU, de réduire nettement le nombre de décès et de maladies dus à la pollution de l’air d’ici 2030 – une tâche considérable quand 6,5 millions de décès, soit 11,6 % des décès mondiaux, en 2012 ont été associés à la pollution de l’air extérieur et intérieur. En France, la pollution atmosphérique se range derrière le tabac et l’alcool sur le podium des morts prématurées, avec 48 000 morts par an. Outre les effets sur la santé publique, le coût économique des particules fines est élevé, entre 20 et 30 milliards d’euros sont dépensés par l’état chaque année à cause des dommages sanitaires causés par ces particules.
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