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Pénélopegate : on rigole bien sur Twitter !
A la suite de l’affaire Cahuzac, François Hollande annonce, le 10 avril 2013, un projet de loi sur la transparence de la vie publique. Qui se présente dans les studios de télé pour le critiquer avec véhémence ? François Fillon. Le député de Paris explique au 20 heures de France 2 qu »‘il n’y a pas besoin de projet de loi. Je récuse l’idée que les hommes politiques soient tous corrompus ». Sur iTélé, il ajoute : « Je suis scandalisé que le gouvernement parle de loi de moralisation. Comme si la vie politique était immorale. Moi, je n’ai rien à cacher. Je ne voterai pas ce texte parce qu’il n’a aucun intérêt. »
La loi 2013 oblige les parlementaires à inscrire sur leur déclaration de patrimoine l’identité de leurs collaborateurs et les activités professionnelles de leur conjoint. On comprend que, afin de préserver Pénélope la discrète, Fillon n’ait pas été chaud pour voter une telle disposition…
Primo : ses enfants n’étaient pas encore avocats. Deuzio ; il ne s’agissait pas de « missions précises », mais d’un emploi à plein temps d’attaché parlementaire. Tertio : les rémunérations versées ont de quoi faire pâlir de jalousie de nombreux assistants parlementaires. La nature de ces « missions » remplies reste bien évanescente. Aussi évanescente , semble-t-il que le travail sénatorial de leur père, qui donnait l’exemple à toute la famille. Le bilan de François Fillon au Palais du Luxembourg – en séance comme en commission-, tient en quelques chiffres : zéro intervention, zéro proposition de loi, zéro rapport, une question et un seul amendement. Sûrement fignolé durant près de deux ans par les dévoués enfants Marie et Charles…
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