Aluminium dans les vaccins : combien de rapports explosifs faudra-t-il ?

Alternative Santé. L'expérience de la médecine naturelle.

Alternative Santé – lettre N° 270 –
   Bonjour à tous,
Force est de constater qu’à l’Assemblée nationale, le 27 octobre dernier, le débat sur l’extension de 3 à 11 du nombre de vaccins obligatoires n’a pas eu lieu.
Sur la forme, les échanges ont volontairement été réduits à la portion congrue, noyés qu’ils étaient dans la colossale réforme de la sécurité sociale.  Inutile de préciser que l’usage d’un tel « cavalier législatif », sur un sujet aussi important, ne fait pas honneur à notre culture démocratique.
Sur le fond, les quelques rares députés émettant des réserves sur le fameux article 34 instaurant l’extension de l’obligation vaccinale ont rapidement été raillés ou rappelés à l’ordre par leurs collègues ou la ministre, au nom d’un « prêt-à-penser épidémiologique » aussi paresseux que fallacieux.
Il fallait hélas s’y attendre. Nos lecteurs et lectrices qui ont fait la démarche de relayer à nos élus et élues quelques faits à contre-courant de la belle symphonie pasteurienne qui a résonné à l’Assemblée ont pu en faire le constat : la plupart de nos représentants se sont contentés de produire des réponses standardisées, reprenant mot à mot les éléments de langage du ministère, sans prendre le temps de s’informer sur le sujet (un sujet, il est vrai, très technique). Face à ces abonnés parlementaires absents, le nouveau collectif Vaccins-Liberté s’est saisi de la plateforme Parlement et Citoyens pour interpeller directement 40 parlementaires qui s’étaient engagés à répondre à toute pétition dépassant les 5 000 signatures (objectif à présent atteint). Ils l’ont fait à partir d’une pétition réclamant le retrait de l’article 34 et centrée sur les conséquences juridiques et sociétales prévisibles de cette loi.
Lorsque d’intrépides députés ont osé soulever dans l’hémicycle la question problématique des effets indésirables de l’aluminium présent dans de nombreux vaccins,  la ministre de la Santé a balayé leurs légitimes interrogations d’un revers de main. Cela malgré un rapport de l’Agence du médicament évoquant clairement les risques de migration de l’aluminium des vaccins vers le cerveau, et porté à la connaissance du public par le quotidien Le Parisien le 22 septembre dernier. Pour appuyer son propos, la ministre a cru devoir écorner au passage le travail et la crédibilité du Pr Gherardi, pourtant spécialiste incontesté de la question, n’hésitant pas à essaimer allusions douteuses et contre-vérités.
Dans ce nouvel article, le journaliste et co-fondateur d’Alternative Santé Régis Pluchet remet les pendules à l’heure sur ce qu’on sait des dangers de l’aluminium et donne la parole à l’association E3M, qui réunit les personnes atteintes de myofasciite à macrophages et milite pour le retrait de cet adjuvant des vaccins. Ayant été le premier a alerter sur ses potentiels dangers dans la presse dés 2001, il avait également rendu publics en 2004 dans nos pages les résultats d’une autre étude inquiétante sur le sujet, elle aussi gardée tranquillement au chaud sur une étagère…

À l’heure où tant de personnes appellent de leurs vœux une réelle démocratie sanitaire et que les politiques se réclament de la transparence, il n’est plus admissible de réformer et de mener les débats sociétaux de cette manière : au pas de charge, avec surdité, en décrédibilisant les lanceurs d’alerte ou en brutalisant les voix dissonantes, et en refusant d’admettre que les conflits d’intérêts au sein des instances d’évaluation et de décision posent un sérieux problème de confiance dans les pouvoirs publics.
C’est pour cette raison que par le biais d’une pétition remise au ministère nous nous sommes élevés très tôt avec plusieurs associations contre le passage en force de cette loi qu’aucune urgence de santé publique ne justifiait.
Espérons que les sénateurs, qui auront bientôt à se saisir de cette question et doivent déposer leurs amendements d’ici lundi, sauront faire preuve de sagesse et prendre la pleine mesure des impacts possibles de cette loi.
Prenez soin de vous,
Alternative Santé

A propos werdna01

Hors des paradigmes anciens et obsolètes, libérer la parole à propos de la domination et de l’avidité dans les domaines de la politique, de la religion, de l’économie, de l’éducation et de la guérison, étant donné que tout cela est devenu commercial. Notre idée est que ces domaines manquent de générosité et de collaboration.
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