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Culture – L’enfant de Saint-Pierre d’Exideuil fait des étincelles
Ces médailles, par delà leurs récipiendaires, viennent honorer une discipline millénaire, souvent méconnue, et dont Jacques Couturier, âgé aujourd’hui de 70 ans, a fait sa passion exclusive.
La vie de Jacques Couturier est faite d’une succession de hasards qui laisse penser que ce prince du ciel était né sous une bonne étoile. Bon élève, le petit Jacques est envoyé au collège à Couhé, puis au lycée à Civray. A l’époque c’est encore exceptionnel pour un fils de paysan peu fortuné. Le bac en poche, le jeune homme s’en va faire un tour à la faculté des sciences de Poitiers sans trop savoir où tout cela va le mener
« Le virus était en moi », se souvient l’ancien enseignant qui, à 40 ans, prend la décision qui va révolutionner son existence : il démissionne de l’Éducation nationale et s’en va travailler trois mois dans une usine de feux d’artifice, à Saragosse, en Espagne. A son retour, il n’ignore plus rien de la pyrotechnie.
Enthousiasmé, l’animateur de télévision fait demander à Jacques Couturier de réaliser le spectacle pyrotechnique de Champs-Élysées.
« On avait invité la principauté de Monaco pour rire ». En 1995, Jacques Couturier est l’une des chevilles ouvrières du salon « Salut l’Artiste » de La Roche-sur-Yon. A son assistante (devenue depuis sa femme), l’artificier n’arrête pas de demander si elle a bien invité tout le monde. « A part la principauté de Monaco, oui », répond sous forme de boutade la jeune femme. « Et pourquoi pas ? » rétorque du tac au tac Jacques.
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