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La justice laisse les policiers farfouiller dans la vie privée
Quasiment en secret, elle à donné à la PJ le roit de ‘réquisitionner » des documents sans l’aval d’un magistrat. Et la chancellerie veut aller encore plus loin…
Soucieuse de justifier cette entorse aux principes judiciaires, la Chancellerie s’était appuyée sur les plaintes des policiers qui râlaient contre « le temps consacré à l’accomplissement des diligences formelles ou d’exercice des droits (sic !) ». Un souhait exaucé dans le respect le plus parfait, bien sûr, de l’autorité de la justice et de la liberté des citoyens.
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