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Cette autoroute alsacienne qui coupe l’appétit
Le gouvernement des coulées en béton Qui a gagné le gros lot ? Qui empocherait les milliards du péage pendant des dizaines d’années ? Vinci, qu’on ne présente plus, sous l’appellation de sa filiale à 100 % Arcos. Il faut lire la prose de ces gens, car elle imagine – si mal ‘ un monde que personne ne connaîtra jamais (1). On y lit que : « les préoccupations environnementales sont au cœur du projet« , on y parle « protection du cadre de vie« , « intégration paysagère« , « protection des milieux naturels » on y voit déferler des bataillons d’écologues et et de naturalistes. L’intention est claire : donner à croire que le résultat sera plus beau que le triste tableau actuel fait d’arbres têtards, de verdiers et de cigognes, de myrtilliers et de flambés, de chats sauvages, de blaireaux et de grands hamsters.
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