Le château de Marvão et ses jardins dans la région de l’Alentejo au Portugal

Les haies coupées proprement et les arbres en fleurs du jardin du Château de Marvão présentent un paysage paisible. Toutefois, observez ces murs de pierres gigantesques et cette tour se profilant : en dépit de son aspect bucolique, cet endroit a été construit pour les batailles. Installé sur une colline au dessus des plaines de l’Alentejo, le château de Marvão que nous voyons aujourd’hui a été construit au début du 12e siècle, pour ensuite être renforcé et rénové au cours des siècles qui ont suivi. Un chemin vers le sommet de la forteresse en pierres offre des vues panoramiques époustouflantes sur la campagne portugaise.
(Wikipedia) – Ville fondée au Ier siècle ap. J.-C. appelée Ammaia à l’époque romaine. Elle doit son nom actuel aux Maures, vers le IXe siècle, la forteresse d’Amaia-o-Monte est devenue Amaia Ibn Maruan, qui vient du nom de Ibn Marwan. Lors des querelles ethnique, ce dernier prendra refuge avec des populations entières de muwallads dans cette forteresse imprenable, pour en faire son royaume, jusqu’à la réconciliation avec l’émir Abd Allah. C’est en 1160 par Afonso Henriques que son nom devient Marvão, mais le château est consolidé par Denis I. Pour faire face à la nouvelle artillerie de guerre de l’époque, les enceintes sont réhabilitées, transformant le château en véritable citadelle imprenable.
Marvão est une ville fortifiée impressionnante du Haut Alentejo au Portugal, au sommet de la serra de Sapoio. Elle fait face à la ville espagnole de Valencia de Alcantara. Elle appartient au district de Portalegre, région de l’Alentejo dans la province du Haut Alentejo.
Située en haut d’un rocher à plus de 860 mètres d’altitude, on ne distingue pas les remparts de la pierre, dans cette ville médiévale paisible que le visiteur découvre dans les ruelles escarpées aux nombreuses marches. Le chemin de ronde est en parfait état.
À ses pieds se trouvent les ruines de la cité romaine Ammaia.

A propos werdna01

Hors des paradigmes anciens et obsolètes, libérer la parole à propos de la domination et de l’avidité dans les domaines de la politique, de la religion, de l’économie, de l’éducation et de la guérison, étant donné que tout cela est devenu commercial. Notre idée est que ces domaines manquent de générosité et de collaboration.
Cet article, publié dans Loisirs Tourisme, est tagué . Ajoutez ce permalien à vos favoris.