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5G et santé : que reste-t-il du principe de précaution ?
Ce principe de précaution est encore renforcé par la Charte de l’Environnement de 2004 qui a valeur constitutionnelle. En toute logique, il faudrait donc imposer un moratoire sur la 5G tant que les dangers sanitaires ne sont pas écartés. Pourtant, l’État promeut la 5G au nom d’enjeux industriels et financiers. C’est que, selon la loi Barnier, le principe de précaution doit avoir « un coût économiquement acceptable », le coût sanitaire y étant subordonné. C’est pourquoi les autorités sanitaires appellent à la vigilance, mais cette vigilance ne s’exercera qu’après l’exposition des populations au risque annoncé…
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